5 conseils pour faire du vélo par temps venteux

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Faire du vélo contre un vent fort comme le Levante est équivalent à l’escalade d’un col de montagne, avec le bonus psychologique supplémentaire de voir un plat ou même une descente devant vous et pourtant, si vous arrêtez de pédaler, vous vous arrêtez net.

C’est pourquoi on va maintenant vous donner quelques conseils pour faire du vélo par temps venteux.

1. Profiter du courant de fuite

Ceux qui ont l’habitude de sortir en vélo de route savent bien ce que c’est que de pédaler contre le vent et leur meilleure arme pour lutter contre lui sont relais.

Si vous voyagez seul, c’est une carte que vous ne pourrez malheureusement pas jouer, mais si vous êtes deux, vous pouvez l’utiliser et croyez-moi, la différence entre l’utiliser ou non est assez grande.

Le rebujo sur le vélo n’est efficace que si vous allez vraiment « sur la roue » À ce stade, il est important de garder sa concentration pour ne pas percuter la roue du cycliste qui vous précède et aussi pour ne pas perdre de distance.

Ici, la communication est fondamentale dans le sens où le cavalier qui commande maintient un rythme que la queue peut suivre, même si normalement, comme le premier cavalier est celui qui arrête le vent, ceux qui sont derrière n’auront aucun problème à le suivre.

2. Maintenir la cadence

A ce stade, le partie psychologique qui est si crucial dans le cyclisme, est fondamental. La première chose à faire est d’assimiler la force du vent et de s’y faire.

Cet accord est basé sur le cadence et maintenir un effort constant mais jamais forcé, car cela nous épuisera en quelques kilomètres. S’efforcer de maintenir une vitesse constante est le prélude à la perte de cette bataille.

Parfois, il semblera que nous ne faisons même pas de progrès, mais la seule chose qui compte est de maintenir la pédalage régulier et constant.

De la même manière que lorsque nous gravissons un col de montagne qui ne laisse aucun répit, avec le vent nous faisons des pauses en pédalant, mais nous ne nous arrêtons jamais, en tout cas nous ralentissons le rythme jusqu’à ce que nous reprenions notre souffle.

3. Attention aux vélos électriques

Si vous roulez sur un vélo électrique soyez très prudent car la tentation sera de régler l’assistance au maximum, surtout si le vent est fort et souffle de face.

Cela peut vous amener à vider vos batteries beaucoup plus rapidement que vous ne le pensez. Si vous utilisez votre vélo électrique depuis un certain temps, vous connaissez probablement ses limites et son autonomie, mais si ce n’est pas le cas, prenez des précautions et n’utilisez que l’appui dont vous avez besoin.

4. Portez des lunettes

Lorsque des vents forts soufflent, il est important de de porter des lunettes de protection ou quelque chose pour protéger nos yeux, non seulement parce que quelque chose pourrait entrer, mais aussi parce que la posture forcée consistant à plisser les yeux toute la journée pour empêcher le vent d’entrer dans nos yeux nous donnera un mal de tête dans l’après-midi.

5. Optimiser la posture

Enfin pour améliorer notre aérodynamisme on peut adopter une position plus inclinée sur le guidon.

Soyez prudent, car en fonction de la géométrie de votre vélo, de la hauteur de la selle et de vos problèmes de dos (si vous en avez), cette posture peut entraîner une gêne, voire une blessure. Ne forcez donc pas trop, après tout, un VTT n’est pas conçu pour être conduit dans une position aérodynamique.

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